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Après avoir reçu le diagnostic de cancer du poumon et de cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) au stade avancé il y a deux ans, le Dr Gianluca Minozzi a décidé de se faire à lui-même une biopsie pulmonaire. « J’ai senti que c’était le bon moment pour moi, et je voulais voir les changements avec mes propres yeux et évaluer ma situation en détail, dit-il. L’étude a révélé que j’avais un cancer du poumon avancé et qu’il serait encore plus difficile à traiter avec la chimiothérapie. » Le Dr Minozzi a eu de la chance : il n’avait pas été exposé au tabagisme de son père, mais il n’a pas non plus été exposé à la fumée de cigares ou de cigarettes par ses deux frères et sœurs.
Il s’est avéré que les médicaments prescrits pour son cancer n’étaient pas les bons pour lui – à cause des effets secondaires indésirables comme la diarrhée, le vomissement et la somnolence. Il avait besoin d’un nouveau traitement, mais il a pris conscience que son médecin traitant, le Dr James Nicolaus, ne lui avait pas proposé une chimiothérapie optimale. Le Dr Minozzi a alors décidé d’aller chez le Dr Nicolaus.
En 2008, il s’est rendu dans la clinique du Dr Nicolaus, où il a commencé un programme de traitement avec des thérapies ciblées qui se sont avérées être la bonne décision pour lui. Après 50 séances de chimiothérapie, les résultats de son examen de contrôle ont montré une réduction de 50 % de son cancer. Il a été soigné avec succès par le Dr Nicolaus, qui l’a finalement envoyé chez le Dr Minozzi en 2009.
Après le traitement
Désormais, le Dr Minozzi ne ressent plus de symptômes de cancer. Il a commencé une chimiothérapie ciblée pour le lymphome à début indifférencié de son père, et il a continué à suivre un traitement de chimiothérapie avec le Dr Nicolaus. En 2013, il a commencé une étude de suivi avec le Dr Nicolaus. Le Dr Minozzi a découvert que son cancer est toujours aussi agressif et s’est propagé à son foie et à son cerveau. « Il n’y avait pas de traitement disponible qui puisse le soigner, et j’ai été très déçu, dit-il. Je ne voulais pas abandonner, mais j’étais très frustré de devoir suivre un traitement qui ne fonctionnait pas et qui pouvait éventuellement me tuer. »
Malgré les difficultés qu’il a rencontrées avec le cancer et les traitements anticancéreux, le Dr Minozzi a poursuivi son travail de chimiothérapie, de radiothérapie et de thérapie ciblée au cours des deux dernières années. « Le cancer m’a rendu beaucoup plus fort », dit-il. Il a même pris un cours de fitness après son traitement.
Un nouveau défi
Malgré le fait qu’il ait perdu toutes ses cellules cancéreuses du poumon après le traitement, le Dr Minozzi a connu d’autres défis en prenant soin de lui et de sa famille. « Mon père a eu une crise cardiaque, et il est resté dans le coma pendant un certain temps, puis a perdu son cœur, dit-il. Je me suis efforcé de l’aider à rester conscient, mais à la fin, il n’a plus pu être opéré et il a été maintenu dans le coma. » Pendant son séjour au centre de cancérologie de l’hôpital Santa Maria della Scala, le Dr Minozzi a rencontré le Dr Nicolaus, qui lui a parlé du programme de chimiothérapie de la clinique. « J’ai découvert que le Dr Nicolaus, qui avait traité mon père avant mon traitement, s’était occupé de lui pendant sa maladie et s’était remis des effets secondaires de la chimiothérapie », dit-il.
Le Dr Minozzi a commencé à travailler avec le Dr Nicolaus en 2015, en se concentrant sur la prévention du cancer et le soutien des patients. « J’avais besoin d’aide pour la chimiothérapie, et le Dr Nicolaus a accepté mon traitement et m’a expliqué comment je pouvais le prendre, dit-il. Maintenant, j’ai un emploi à temps plein, une famille et un mari heureux. Je suis plus fort que jamais.
Des perspectives de vie meilleures
Le Dr Minozzi a récemment décidé que sa nouvelle vie lui convenait. « Le plus grand défi de la vie est de se battre contre le cancer, dit-il. C’est difficile de se réveiller chaque matin et de ne pas être impatient de voir ce qui est arrivé à mes cheveux, de penser que j’aurais pu en faire plus et de me dire que ma famille souffre de cette maladie.
Il a maintenant un emploi à temps plein, ce qui lui permet de passer plus de temps avec son épouse et ses trois jeunes enfants, et il passe plus de temps à faire du fitness et à améliorer sa santé. « Je fais de l’exercice tous les jours, et mon mari est un cycliste et fait du ski, ce qui me fait beaucoup de bien.
Conclusion
L’espoir que le Dr Minozzi a dans sa bataille contre le cancer est que la chimiothérapie peut le garder en vie. « La chimiothérapie est la meilleure thérapie, dit-il. C’est le traitement le plus sûr qui puisse être administré à mon cancer ».
Épisode 166
Épisode 165
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Cancer du poumon : quelles perspectives de vie après une ablation de la moelle épinière ?
Maladie chronique qui touche le poumon et plus rarement le cerveau et le foie, la myélopathie inflammatoire a été diagnostiquée à 23 ans et n’a jamais été traitée. C’est une femme de 25 ans qui en est à l’origine. À la suite d’un accident de voiture, elle souffre de douleurs à la jambe, d’un genou qui s’alourdit et de difficultés respiratoires. La douleur s’est propagée dans son dos. Les médecins lui ont alors prescrit des anti-inflammatoires et une injection de cortisone. Elle a également été diagnostiquée d’un cancer du poumon et d’une maladie auto-immune, qui affecte les cellules immunitaires et ralentit la guérison. La maladie a été détectée à 40 ans. En plus des effets secondaires liés à ses traitements, la patiente devait être opérée en urgence pour retirer la moelle épinière. Elle a été opérée et le diagnostic de cancer a été confirmé. À ce jour, elle ne sait pas quand elle pourra complètement récupérer.« Je me suis sentie soulagée et soulagée d’être là où je suis », dit-elle.
Les traitements du cancer du poumon
Le cancer du poumon est la première cause de décès par cancer au Québec et dans le monde.
Cancer du poumon de stade I
Le cancer du poumon de stade I est un cancer rare qui prend naissance dans les poumons. Il s’agit des poumons les plus atteints par la maladie chez les personnes diagnostiquées avec le cancer du poumon.
Dans la plupart des cas, le cancer du poumon de stade I se développe lentement et n’affecte pas les tissus environnants comme le foie ou les os.« La maladie est moins agressive que les stades plus avancés du cancer du poumon », dit le Dr Daniel Rhea, spécialiste du cancer, en oncologie médicale au CHUM.
Les traitements du cancer du poumon de stade I sont très différents des traitements du cancer du poumon de stade II.« Les patients atteints de cancer du poumon de stade I ont souvent peu de chances de récupérer et doivent être opérés en urgence », dit le Dr Rhea.
Dans la plupart des cas, un traitement du cancer du poumon de stade I est suivi d’un autre type de traitement pour améliorer son état. Le traitement consiste à éliminer les cellules cancéreuses, à les retirer ou à les traiter avec des radiations ou des médicaments.
Les patients atteints d’un cancer du poumon de stade I ont besoin d’une chirurgie pour éliminer les cellules cancéreuses, car les métastases sont plus susceptibles de se produire dans les poumons.
Les cancers de stade I sont souvent asymptomatiques et ne présentent aucun symptôme.« Les symptômes apparaissent généralement avec le cancer du poumon de stade II », dit le Dr Rhea.
La détection précoce du cancer du poumon de stade I est essentielle car elle peut être traitée à un stade plus précoce.« Il existe plusieurs tests qui permettent de savoir si un cancer du poumon de stade I est présent », dit le Dr Rhea.
Le diagnostic du cancer du poumon de stade I peut être posé par un test de dépistage du cancer du poumon basé sur la fumée de tabac, en suivant un score de risque lié à la cigarette.